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Apprendre les poé seul! : Poésie 🎇 Carnaval est arrivé de Karine Persillet... | Poésie carnaval, Carnaval, Poesie
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[Poésie n°8] Carnaval est arrivé! De Karine Persillet - YouTube
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21 février 2009 6 21 / 02 / février / 2009 17:00 Le Carnaval est arrivé Les doigts se sont déguisés. Le poucinet, le plus coquin, S'est changé en Arlequin. Poésie 🎇 Carnaval est arrivé de Karine Persillet 🎇 - YouTube. L'index, qui montre le chemin, S'est déguisé en petit lutin. Le chef, le grand majeur, A mis l'habit du roi de cœur. L'annulaire, celui qui porte un bel anneau, Porte une cape de Zorro. Et le tout petit, l'auriculaire, Est un courageux mousquetaire. (Tradition) Publié par Jolie Tendresse - dans Fêtes diverses - Poèmes-Comptines
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En avant pour notre bal! Qu'il soit de Venise ou de Rio, De Nice ou du Monténégro, De Guadeloupe ou de Louisiane, De Québec ou de Lausanne, Avec ses reines, avec ses rois Il apporte toujours de la joie. Apprendre les poésies...tout seul !: Poésie 🎇 Carnaval est arrivé de Karine Persillet 🎇. Son cortège de chars fleuris Et son ambiance de féérie Font de ce jour fêté Un des plus beaux succès de l'année. Musique, danses et folle ambiance Couleurs et plumes en abondance, Tout est prêt car Karine Persillet
Venise pour le bal s'habille. De paillettes tout étoilé, Scintille, fourmille et babille Le carnaval bariolé. Arlequin, nègre par son masque, Serpent par ses mille couleurs, Rosse d'une note fantasque Cassandre son souffre-douleurs. Battant de l'aile avec sa manche Comme un pingouin sur un écueil, Le blanc Pierrot, par une blanche, Passe la tête et cligne l'oeil. Le Docteur bolonais rabâche Avec la basse aux sons traînés; Polichinelle, qui se fâche, Se trouve une croche pour nez. Heurtant Trivelin qui se mouche Avec un trille extravagant, A Colombine Scaramouche Rend son éventail ou son gant. Poésie carnaval est arrivé karine persillet. Sur une cadence se glisse Un domino ne laissant voir Qu'un malin regard en coulisse Aux paupières de satin noir. Ah! fine barbe de dentelle, Que fait voler un souffle pur, Cet arpège m'a dit: C'est elle! Malgré tes réseaux, j'en suis sûr, Et j'ai reconnu, rose et fraîche, Sous l'affreux profil de carton, Sa lèvre au fin duvet de pêche, Et la mouche de son menton Théophile Gautier