L&Rsquo;Étrange Cas Deborah Logan | Cinema Flush
Ce petit film d'horreur est une bonne surprise! Le found-footage est très bien exploité, et sert à merveille un scénario bien ficelé et cohérent. Partant d'un sujet rationnel, le fantastique s'invite petit à petit, et la tension s'installe efficacement. Quelques scènes offrent de bons moments de frayeur, mais si le rythme et bien mené sur les 3/4 du film, on regrette peut-être une fin un peu trop expédiée... A voir, pour les amateurs du genre. L’étrange cas de Deborah Logan | Haché menu. Juste un mot, INCROYABLE! Le film nous raconte l'histoire de Mia, qui fait une thèse sur la maladie de l'Alzheimer et son évolution, elle va donc chez une vielle dame du nom de Déborah Logan et sa fille Sarah Logan. Par où commencer, tout d'abord par l'incroyable jeu d'acteur de Jill Larson dans le rôle de Déborah, pendant tout le long du film, son interprétation ma donné des frissons notamment dans son regard dans certaines scènes, qui est juste terrifiant. Anne Ramsey qui joue le rôle de la fille de Déborah est un bijou aussi, on sent l'inquiétude qu'elle a pour sa mère grandir chaque jour, elle est attachante et elle joue bien son rôle.
L Étrange Cas Deborah Logan Explication Fin 2017
Atteinte de la maladie d'Alzheimer, Deborah Logan accepte de faire l'objet d'un documentaire réalisé par un trio de jeunes gens dont les motivations m'échappent parce que je n'étais pas concentré au tout début du film. Rapidement, chacun va se rendre compte que les sautes de mémoires de la vieille dame sont loin de constituer son problème principal. The Taking of Deborah Logan aborde tout de même un sujet qu'on voit peu au cinéma, et encore moins dans les films d'épouvante, à savoir la maladie d'Alzheimer qui est une sacrée chiennerie de merde. Et à ce titre, toute la première partie du film a quelque chose de profondément sensible, et de singulièrement réussi. Critiques du film L'étrange cas Deborah Logan - Page 3 - AlloCiné. Ce qui est dommage, c'est que l'on bascule ensuite rapidement dans un found-footage mâtiné d'histoire de possession et de rituels indiens de sacrifices de jeunes vierges franchement convenu, avec des serpents venimeux, des images en infra-rouge, des cris, de la sueur et des larmes, et tout le tralala. Et on a du mal à lutter contre l'impression d'avoir déjà vu ça des dizaines de fois auparavant.
Malgré un budget somme toute limité, Adam Robitel emballe soigneusement son premier long métrage et peut compter sur de très bons comédiens, en particulier Jill Larson, qui interprète Deborah Logan, actrice habituée aux séries télévisées, mais également remarquée dans Shutter Island de Martin Scorsese. Elle est ici réellement inquiétante et le film repose essentiellement sur son jeu « possédé ». Frissons garantis. L'Etrange cas de Deborah Logan parvient à rendre son histoire « réaliste » en se penchant tout d'abord sur une femme âgée atteinte de la maladie d'Alzheimer, qu'une jeune étudiante, Mia, souhaite suivre dans son quotidien pour un reportage destiné à développer sa thèse sur cette maladie neurodégénérative. Avec le concours de Sarah Logan, incarnée par Anne Ramsay (vue dans les séries The L Word, Six Feet Under, Dexter), Mia s'installe donc chez Deborah avec son équipe réduite. L étrange cas deborah logan explication fin du. Des caméras de surveillance sont installées. La maladie progresse plus rapidement que prévu et Deborah rentre alors dans des crises de démence, loin des habituels symptômes.