Acte 1 Scène 3 Phèdre 2

Elle prit pour Phèdre qui est en situation de grande faiblesse. À partir du vers 10, Oenone sort de son rôle de confidente et joue cette fois un rôle de donneuse de leçon. Elle reproche à Phèdre de manquer de force et d'avoir envie de mourir avec le martellement du vers 162 à 168 du pronom de la deuxième personne du pluriel « vous ». Nous observons également des procédés rythmiques et mélodiques du vers 173 à 176. Le « Quoi! » d'Oenone au début du vers nous explique que l'actrice va mettre un peu plus de temps à dire son vers on est donc bien dans la représentation. On a l'impression que ce vers 21 nous offre plus de temps « poétique » dans cette scène. Acte 1 scène 3 phèdre de. Encore davantage qui nous avait été à voir dans le premier vers qui lui est composé de deux hémistiches, ici, le rythme et cette mélodie donnent à voir une certaine violence dans le ton. Oenone confirme le désarroi de Phèdre en soulignant ses contradictions des vers 163 à 168.... Uniquement disponible sur

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Il s'agit d'un aveu amoureux, d'une expression de la passion qu'il éprouve à l'égard de sa bien aimée. L'expression de la condition introduite par "Si" donne lieu à un paradoxe qui s'annonce dès cette scène d'exposition: Il aime Aricie, mais pourtant il l'a quittée, ou tout au moins c'est parce qu'il l'aime qu'il a dû la quitter. Acte 1 scène 3 phèdre analyse linéaire. La litote employée dans ce vers vise essentiellement à souligner le sort tragique auquel le personnage est confronté. Entre amour est devoir, il se trouve tiraillé sans repères et dans une quête continue d'un père perdu mais également d'un amour qu'il a été obligé de sacrifier. A u demeurant, cette scène remplit les fonctions de la scène d'exposition en exposant les personnages, le cadre patio-temporel tout en donnant lieu à un élan tragique et une fatalité qui se présente en une entrée in-mediaş-res. Quel en serait donc l'effet au niveau de la tirade de Phèdre? Et en quoi consisterait la dimension tragique au niveau des prochaines scènes et tout au long de la pièce?

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Quand Théramène essayait de discréditer Thésée, Hippolyte ne manque pas de l'arrêter poliment « Cher Théramène, arrête ». L'utilisation de l'impératif « Arrête », « Respecte » souligne la position de force d'Hippolyte atténuée par l'expression d'affection « Cher ». Ce vers sert d'introduction à un point relatif à la présentation des traits de Thésée. Hippolyte tente de dresser un portrait plus mélioratif de son père adoré. Pour ce, un contraste est mis en place entre le passé et un présent espéré. Commentaire - Phèdre, Acte I, scène 3 - Phèdre. - Commentaire de texte - Suman93270. Les termes « jeunes erreurs » et « désormais » le témoignent clairement. La conjonction de coordination « et » relie alors la présentation du personnage à son sort tragique et dont l'histoire est exposée à instabilité « L'inconstance fatale ». C'est là où Hippolyte justifie sa quête vers son père, il recours ainsi au futur simple pour accentuer sa résolution liée principalement à son sens de devoir. « Enfin en le cherchant je suivrai mon devoir, ». Il présente également l'intérêt « Et je fuirai ces lieux que je n'ose plus voir.

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PHÈDRE: Ariane, ma sœur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée! ŒNONE: Que faites-vous, madame? et quel mortel ennui Contre tout votre sang vous anime aujourd'hui? 40 PHÈDRE: Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable Je péris la dernière et la plus misérable. ŒNONE: Aimez-vous? PHÈDRE: De l'amour j'ai toutes les fureurs. ŒNONE: Pour qui? PHÈDRE: Tu vas ouïr le comble des horreurs. J'aime... A ce nom fatal, je tremble, je frissonne. 45 J'aime... ŒNONE: Qui? Phèdre, Acte I scène 3, analyse. PHÈDRE: Tu connais ce fils de l'Amazone, Ce prince si longtemps par moi-même opprimé? ŒNONE: Hippolyte? Grands dieux! PHÈDRE: C'est toi qui l'as nommé! ŒNONE: Juste ciel! tout mon sang dans mes veines se glace! […] Bio de Jean Racine: (1639-1699) Issu de la bourgeoisie, il confie ses premières tragédies ( la Thébaïde) à la troupe de Molière en 1664, mais à l'Hôtel de Bourgogne que sa maitresse, l'actrice Thérèse du Parc, dite Marquise, triomphe dans le rôle d'Andromaque écrit pour elle. Les héros de Racine (Phèdre, Bérénice, Britannicus) n'exaltent plus les vertus héroïques, mais agissent sous l'emprise des passions.

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Pour Phèdre se montrer un jour, au soleil (son ancêtre), reviendrait pour elle à dévoiler sa culpabilité. Phèdre cherche le dévoilement, la vérité, autant qu'elle les craint. Cette culpabilité nous est donnée son champ lexical: « Honteuses » (v. 183), « la rougeur » (v. 182) et « rougis » (v. Analyse linéaire: Phèdre, acte 1, scène 1 | Ma Classe Idéale. 171), elle se sent coupable d'aimer Hippolyte. Elle veut que cette malédiction s'estampe, les vers 169 à 172 peuvent être interprétés comme une forme de prière. Le vers 184 « Et mes yeux, malgré moi, se remplissent de pleurs » est une image hyperbolique comme un vase trop plein et qui déborde, Phèdre est malheureuse, un ton tragique est engagé. De plus le désir de mort n'est pas explicitement cité elle contourne son désir en annonçant « [c'est] la dernière fois » (v. 172) traduisant une appréhension qui s'accompagne de sa contradictoire avec la volonté de sortir du Palais, ce qui révèle la passion. Phèdre subit son désarroi, c'est un personnage tiraillé, paradoxale, fidèle aux héros tragique. Le jeu de l'ombre...

Il met en avant « une autre ennemie », la jeune Aricie dont il était particulièrement épris. La passion est ainsi une véritable fatalité. Il présente ainsi l'objet réel de la fuite est Aricie en évoquant le sort fatal conjuré contre leur volonté. Il s'agit ainsi d'un amour interdit. Théramène essaie de remettre Hippolyte sur de bonnes railles en usant des interrogations successives. L'interjection introduite par « Quoi! » et en intégrant dans son discours l'expression « Seigneur » pour montrer le rapport entre les deux personnages: Hippolyte, mis à part le fait qu'il soit son confident, il est également son gouverneur. En vue de parler d'Aricie, il utilise une antithèse: Bien qu'elle soit « Aimable », elle fait partie à une famille « Cruelle » et à ses « frères perfides: Référence à la famille Pallantides. Acte 1 scène 3 phèdre 3. A travers sa dernière question, Théramène qualifie les propos de Aricie d'innocents tout en essayant de le convaincre à renoncer à sa « haine »: « Et devez vous haïr ses innocents appas » C'est ainsi qu'Hippolyte annonce son aveu le formulant comme suit "Si je la haïssais, je ne la fuirais pas. "

July 31, 2024, 12:23 pm
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