Nous Sommes Deux Droles Aux Larges Épaules

On the Road again de Bernard Lavilliers apparait sur l'album If... sorti en 1988 chez Barclay. Nous sommes deux droles aux largest épaules animal. Genèse [ modifier | modifier le code] La légende veut que Bernard Lavilliers ait navigué sur son bateau le Corto Maltese [ 1] entre Saint-Malo et l' Irlande, mais il n'aurait jamais eu de bateau portant ce nom [ 2]. Cela aurait pu inspirer la rime évoquant le départ d'Irlande et l'éclairage de la lande. Un autre supposition est que cette chanson a été inspirée par la mort de Bobby Sands et de ses camarades membres de l' IRA. Bernard Lavilliers, qui fut parfois accusé de plagiat [ 3], se serait fortement inspiré des paroles de Les Tuileries [ 4] de Victor Hugo (« Nous sommes deux drôles / Aux larges épaules, / De joyeux bandits, / Sachant rire et battre ») et de Si tu t'en vas [ 5] de Léo Ferré (« Si tu t´en vas / La mer viendra toujours / Vers le rivage »), et aurait plagié les paroles du refrain de la chanson Errer humanum est écrite par Hubert-Félix Thiéfaine en hommage à Jack Kerouac et sortie deux ans plus tôt dans l'album Météo_für_nada [ 6].
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Nous avons l'ivresse, L'amour, la jeunesse, L'éclair dans les yeux, Des poings effroyables; Nous sommes des diables, Nous sommes des dieux! Nos deux seigneuries Vont aux Tuileries Flâner volontiers, Et dire des choses Aux servantes roses Sous les marronniers. Sous les ombres vertes Des rampes désertes Nous errons le soir, L'eau fuit, les toits fument, Les lustres s'allument, Dans le château noir. Notre âme recueille Ce que dit la feuille À la fin du jour, L'air que chante un gnome. Et, place Vendôme, Le bruit du tambour. Les blanches statues Assez peu vêtues, Découvrent leur sein, Et nous font des signes Dont rêvent les cygnes Sur le grand bassin. Ô Rome! ô la Ville! Annibal, tranquille, Sur nous, écoliers, Fixant ses yeux vagues, Nous montre les bagues De ses chevaliers! La terrasse est brune. Pendant que la lune L'emplit de clarté, D'ombres et de mensonges, Nous faisons des songes Pour la liberté. Paradis des Albatros / Chanson des deux barbares. 19 avril 1847. Chanté par Colette Magny dans son album intitulé Melocoton, ce poème très inattendu, à la facture si nouvelle, a été également chanté par Yves Montand, Serge Kerval.

Ce gamin des arbres Sautait sur les marbres Et riait beaucoup De ce que Philippe Avait pris la grippe La veille à Saint-Cloud. Victor Hugo Pièces non retenues des Chansons des rues et des bois Poème posté le 15/03/15 par Rickways Poète

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Sous les ombres vertes Des rampes désertes Nous errons le soir, L'eau fuit, les toits fument, Les lustres s'allument, Dans le château noir. Notre âme recueille Ce que dit la feuille À la fin du jour, L'air que chante un gnome. Et, place Vendôme, Le bruit du tambour. Les blanches statues Assez peu vêtues, Découvrent leur sein, Et nous font des signes Dont rêvent les cygnes Sur le grand bassin. Ô Rome! ô la Ville! Annibal, tranquille, Sur nous, écoliers, Fixant ses yeux vagues, Nous montre les bagues De ses chevaliers! Nous sommes deux droles aux larges épaules irradiant vers bras. La terrasse est brune. Pendant que la lune L'emplit de clarté, D'ombres et de mensonges, Nous faisons des songes Pour la liberté. Les Tuileries Victor Hugo 1850 (Version finale)

La terrasse est brune. Pendant que la lune L'emplit de clarté, D'ombres et de mensonges, Nous faisons des songes Pour la liberté. 1850 (Version finale) Victor HUGO, dessin de Lafosse, 1848 Trois strophes de la première version (1847): Dans l'allée obscure Où l'ombre à Mercure Met un domino, parmi l'herbe éparse, Je vis d'un air farce Venir un moineau. Ce gamin des arbres Sautait sur les marbres Et riait beaucoup De ce que Philippe Avait pris la grippe La veille à Saint-Cloud. Les Tuileries Paroles – COLETTE MAGNY – GreatSong. Le théâtre du Luxembourg Il est question dans le poème de HUGO du théâtre de Bobino. Le théâtre du Luxembourg (ou théâtre de Bobino, dit encore « Bobinche »), fondé en 1816, présentait au début des spectacles forains, et par la suite des drames, des vaudevilles, des revues … Ci-dessous, une photo de Charles MARVILLE (« Vues du Vieux Paris ») cité dans un article très documenté:; Le théâtre de Bobino sera démoli en 1868: Théâtre du Luxembourg, dit Bobino, Paris VIème, Janvier 1868

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samedi 22 août 2015 Deux drôles aux larges épaules 5 commentaires: On a tellement eu le frisson en écoutant Colette Magny chanter ça. Mais ça fait plaisir quand même. Et puis c'est Bertrand Belin. Bien à vous, Catherine Répondre Supprimer C'est bien la première fois que j'aurais pu confondre Hugo et Rimbaud. Belle interprétation. Paroles Les Tuileries par Colette Magny - Paroles.net (lyrics). Répondre Supprimer Réponses Il s'agit cependant d'une coïncidence. J'ai entendu ce morceau sur France Inter et je dois avouer que je ne connaissais pas l'original... Supprimer

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