Une Pénétration Digitale

Publié le mardi 4 Décembre 2018 à 15h46 Le parquet a sollicité mardi devant la 18e chambre de la cour d'appel de Liège la confirmation d'une peine de huit ans d'emprisonnement contre un médecin waremmien de 61 ans qui avait violé un bébé de 5 mois. Le prévenu avait assouvi ses tendances pédophiles sur sa petite-fille. Les faits s'étaient déroulés le 4 février 2017 alors que l'enfant avait été confié à la garde de son grand-père. Lors d'un changement de lange, le prévenu avait pratiqué une pénétration profonde sur le bébé. La petite fille âgée de 5 mois avait été admise aux urgences d'un hôpital en présentant des blessures sévères aux organes génitaux. L'enquête avait aussi révélé que le prévenu se livrait depuis plusieurs années à la consultation de sites pédopornographiques, avec des attirances orientées vers les bébés. Il détenait 147. 000 photos pédopornographiques. Devant la cour d'appel de Liège, le prévenu a reconnu avoir réalisé une pénétration digitale profonde après avoir ressenti une pulsion.

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Malgré la présence de l'ADN de la victime sur son sexe, il a contesté avoir pratiqué une pénétration pénienne. Il a également affirmé ne plus se souvenir de l'ensemble des faits commis sous l'influence de l'alcool et de médicaments. « Je ne me suis pas rendu compte » « Je suis effaré par l'importance des lésions. Je ne me suis pas rendu compte de l'importance du geste pratiqué. Ce que j'ai fait est impardonnable », a annoncé le prévenu devant la cour. Selon l'avocat général, les faits commis renvoient à l'abominable et le prévenu cristallise un sentiment de répulsion et d'horreur. En raison de la prise de conscience du prévenu, le parquet a requis la confirmation de la peine de huit ans de prison sans réclamer d'aggravation. La défense du prévenu, Me Masset, a plaidé la confirmation de la peine. L'arrêt sera prononcé le 8 janvier. Retrouvez cet article et toute l'info de votre région dans notre nouvelle application Sudinfo

Depardieu : Accusé De "Viols", Il Brise Le Silence

Accusé de viol par Charlotte Arnould, Gérard Depardieu a réclamé l'annulation de sa mise en examen. Mais l'enquête est toujours ouverte et il faudra attendre encore un peu avant de connaître la décision de la chambre de l'instruction de Paris. Il a beau clamer son innocence, dans la presse italienne comme auprès de la police, Gérard Depardieu a été mis en examen pour " viols et agressions sexuelles " après une première enquête classée sans suite. Le comédien a toutefois réclamé l'annulation de cette mise en examen devant la chambre de l'instruction de Paris, " au motif de l'absence d'indice sérieux ", et attend un verdict pour le jeudi 10 mars 2022. Apprentie actrice, danseuse et pianiste, Charlotte Arnould a déposé une plainte contre Gérard Depardieu le 25 août 2018 dans une brigade de gendarmerie à Lambesc, dans les Bouches-du-Rhônes. Elle l'accuse de deux viols qui auraient eu lieu ce même mois, durant l'été. La jeune femme le connait depuis l'enfance: son père dirigeait des hôtels de luxe dans des stations de ski à Jougne et aux Arcs et avait reçu, à plusieurs reprises, Gérard, Julie et Guillaume Depardieu. "

Gérard Depardieu Accusé De Viol : L'acteur Reconnaît Plusieurs Faits ! - Purepeople

Largement partagé, son message a reçu le soutien de plusieurs collectifs féministes mais aussi de plaignantes dans d'autres dossiers de viol, par exemple contre Patrick Poivre d'Arvor ou Tariq Ramadan. Mercredi, le président du tribunal judiciaire de Paris Stéphane Noël a au contraire contacté l'AFP pour « saluer le travail » de la « rigoureuse, pugnace et volontaire » magistrate instructrice Marie-Claire Noiriel, nommément critiquée par Sand Van Roy et ses avocats, qui ont déposé plainte pour « faux en écriture publique par dépositaire de l'autorité publique, usage de faux, altération de document public de nature à faciliter la découverte d'un crime, escroquerie au jugement ». L'actrice, qui déplore les déclarations du président du tribunal judiciaire de Paris, s'interroge par ailleurs « sur l'indépendance de la justice » dans cette affaire.

Remise en cause deux ans et demi plus tard par un expert, cette blessure a été confirmée par quatre médecins dans un rapport produit en mars par ses avocats: les spécialistes l'ont jugée compatible avec sa version des faits. Mais la cour d'appel n'a pas pris en compte ce document et a mis en doute la réalité de cette blessure intime. Jointe par Le Parisien ce jeudi, Sand Van Roy précise qu'aucun expert « n'a remis en cause l'existence d'une fissure anale », contrairement à ce qu'affirme l'arrêt. De la même manière, la cour a écarté la demande d'analyse de draps tâchés retrouvés dans la chambre d'hôtel par Sand Van Roy, qui pensait que cela aurait pu accréditer l'existence de la pénétration anale digitale démentie par Luc Besson. « Consentement » Alors que les versions des faits à l'hôtel Bristol divergent, les magistrats en appel ont en réalité confirmé mardi l'analyse de la juge d'instruction signataire du non-lieu le 8 décembre: ils estiment « constant » et « non contesté » le « rapprochement sexuel » de Sand Van Roy et Luc Besson, la question centrale étant pour eux de déterminer s'il y avait « consentement » de la plaignante.

August 1, 2024, 3:53 am
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