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Faut être vigilant. Les bébés prennent bien leurs biberons mais ils ont du mal à prendre du poids. Alexandre n'a pas encore vu les bébés, il va pas tarder à rentrer. C'est le bonheur pour Audrey et Stéphane La famille Hubert enfin réunie Famille Provenchère: la mamie gère les triplées La mère de Laetitia Catherine gère toute seule les filles pour le repas et c'est pas simple. Elle n'arrive pas à donner à manger aux 3 en même temps. Affaire d équitation pas cher boulogne. Catherine avoue qu'elle ne pourrait pas faire ça tous les jours. Catherine avoue que tous ses amis appelle Laetitia « maman courage ». Laetitia est heureuse en rentrant de voir que tout va bien avec les filles même si elle n'en doutait pas. Laetitia a envie de retourner aux écuries même si elle sait qu'il y a toute une organisation à mettre en place. Catherine est prête à les garder 1 à 2 fois par semaine. Les triplées gérées par Catherine Famille Santoro: nouveau projet Camille veut lancer sa marque de pyjamas pour enfants (ndlr la marque se nomme « 10 novembre », plus d'infos bientôt sur – compte insta).
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Elle avait été recueillie au petit matin en état de choc par une amie. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire pour "viols en réunion". Mais lors de leur garde à vue, les six pompiers mis en cause par la jeune femme avaient réfuté les faits, décrivant des actes sexuels consentis.
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D'un côté, une ville aux fortunes porcelainières et à la bourgeoisie « discrète », dans son « entre-soi », qui ne s'affiche guère, d'un conservatisme de bon aloi. De l'autre, un fort prolétariat ouvrier, marqué entre PC et SFIO à gauche, et toujours traumatisé par la Grande Guerre. « La ville ouest, celle de la bourgeoisie aisée, contre le reste de la ville qui est ouvrier, modeste, qui trime 55 heures par semaine, qui se choisit des leaders politiques marqués très à gauche et qui a un jeune prolétariat disponible pour pratiquer l'émeute ». Vincent Brousse Charles Barataud, 33 ans, le « beau Charley » de son surnom, est fils de porcelainiers. Affaire d équitation pas cher à paris. Officier de réserve, décoré de la Grande Guerre, sportif accompli, dandy donc, au luxe ostentatoire dans son milieu traditionnellement si discret, aux mœurs supposées dissolues, puisqu'il s'adonnerait aux stupéfiants et serait, sinon inverti comme on disait alors, du moins « à voile et à vapeur », et pire, pédéraste. Bertrand Peynet, de quinze ans son cadet, mineur donc à l'époque, fils d'un teinturier aisé.
Les policiers y trouvent Bertrand Peynet, tué un coup de Winchester, et Barataud, qui tente de suicider avec la même arme. Il aurait dit: « Nous avions décidé de mourir ensemble, je devais le tuer puis me suicider, je n'ai pas eu le temps, je n'ai pas eu le courage ». La « latitude » laissée à Barataud avant son incarcération passe déjà mal dans l'opinion publique. On parle, notamment Le Travailleur du Centre et le Populaire, presses de gauche, de « cette partie pourrie de la société bourgeoise, parmi les fils à papa, les viveurs, les jouisseurs, les catins de la haute »! Une bonne partie de la presse de la capitale « s'entiche » de l'affaire, et « descend » la couvrir à Limoges, relatant la moindre audience, le moindre commentaire. De plus, l'un des avocats de Barataud est un ténor du barreau de Paris, Pierre Masse. Un nouveau livre sur « l’affaire Barataud », star des affaires criminelles de Limoges du XXe siècle. Il est pourtant peu familier des Assises, mais M. Allégret, l'autre avocat de l'accusé, avait été particulièrement impressionné dans une affaire où il avait eu son confrère comme adversaire!