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Il consacre son énergie à organiser et à rationaliser la lutte, et à rassembler toutes les forces politiques algériennes au sein du FLN pour donner à la rébellion du 1er novembre la dimension d'un grand mouvement de résistance nationale. Secondé par Ben Youcef Ben Khedda, il impulse la création d'El Moudjahid, le journal clandestin de la révolution, de l'hymne national » Kassaman » (en contactant lui-même le grand poète Moufdi Zakaria), appuie la naissance des organisations syndicales ouvrière (UGTA), commerçante (UGCA) et estudiantine (UGEMA), qui deviendront, elles aussi, une masse indéfectible pour la révolution. Il met également en chantier et supervise la rédaction d'une base doctrinale destinée à compléter et à « purifier » les objectifs contenus dans la proclamation du 1er novembre 1954. Ait benali boubekeur site. Soutenu par Larbi Ben M'hidi, il fait adapter au « Congrès de la Soummam » du 20 août 1956 une loi pour l'armée de libération nationale (ALN) devant se soumettre aux directives de la guerre, et surtout, devenir une plateforme politique dans laquelle est affirmée la « primauté du politique sur le militaire et de l'intérieur sur l'extérieur ».

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En outre, la base est désormais au courant de la crise minant la direction du parti. Pour résoudre le conflit, Messali demande les pleins pouvoirs en vue de redresser le parti. Les centralistes refusent, dans le premier temps, en arguant que la ligne directrice du parti avait été ratifiée lors du précédent congrès du parti. Vers la mi-juillet, Messali réunit ses partisans en Belgique. Il exclut tous les animateurs du comité central. Ce dernier réunit, lui aussi, la conférence des cadres vers le début août. Ait benali boubekeur news. Les membres du comité central décident l'exclusion de Messali et de ses adjoints, Moulay Merbah et Ahmed Mezrena. Dans ces conditions, pour paraitre crédible, il est difficile de se reconnaitre dans l'une des tendances et prétendre réaliser l'union du peuple algérien. En tout cas, cette ambigüité est levée dans la déclaration du 1 novembre 1954: « Nous tenons à préciser, à cet effet, que nous sommes indépendants des deux clans qui se disputent le pouvoir. Plaçant l'intérêt national au-dessus de toutes les considérations mesquines et erronées de personnes et de prestiges, conformément aux principes révolutionnaires, notre action est dirigée uniquement contre le colonialisme, seul ennemi obstiné et aveugle, qui s'est toujours refusé d'accorder la moindre liberté par les moyens pacifiques », clarifient ainsi les activistes leur position.

Or, les Algériens, bien qu'ils subissent le système colonial de plein fouet, restent immobiles. « Les événements du Maroc et de la Tunisie sont, à ce sujet, significatifs et marquent profondément le processus de lutte de libération de l'Afrique du Nord. A noter dans ce domaine que nous avions depuis fort longtemps été les précurseurs de l'unité dans l'action. Benali Boubeker | systèmophobe. Malheureusement jamais réalisée entre les trois pays. Aujourd'hui, les uns et les autres sont engagés résolument dans cette voie, et nous, relégués à l'arrière, nous subissons le sort de ceux qui sont dépassés. C'est ainsi que notre Mouvement National terrassé par les années d'immobilisme et de routine, mal orienté, privé de soutien indispensable de l'opinion populaire, dépassé par les événements se désagrège progressivement à la grande satisfaction du colonialisme qui croit avoir remporté la plus grande victoire de sa lutte contre l'avant-garde algériens », peut-on lire dans la proclamation du FLN du 1 novembre 1954. En effet, dès décembre 1953, les rapports des autorités coloniales débordaient d'enthousiasme en apprenant la crise qui secouait le parti nationaliste, le PPA-MTLD.

August 1, 2024, 1:08 pm
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