Du Contrat Social Livre 3 Résumé Par Chapitre Viii Protection Du
- Du contrat social livre 3 résumé par chapitre des carnets cartographiques
- Du contrat social livre 3 résumé par chapitre 6
- Du contrat social livre 3 résumé par chapitre viii protection du
Du Contrat Social Livre 3 Résumé Par Chapitre Des Carnets Cartographiques
Pour Rousseau, ce type de projet est irréalisable vue la nature des états et des hommes. – une nostalgie de la Cité grecque à la taille idéale selon Aristote, pour qui si « le nombre d'habitants peut se saisir d'un seul coup d'œil », alors le territoire est défendable, unitaire et économiquement prospère.
Du Contrat Social Livre 3 Résumé Par Chapitre 6
Ceci amène nécessairement à la justification de pouvoirs arbitraires, car si le vrai dépend de la force, alors la force peut justifier tous les actes. On peu ici clairmrent voir une critique de la célèbre maxime: la raison du plus fort est toujours la meilleure Nous ne sommes donc plus dans un rapport de gouvernant à gouverné mais dans un rapport de dominant à dominé. ] Le droit du plus fort n'est qu'un subterfuge utilisé pour justifier la prise de pouvoir des plus forts. Ce texte prend donc valeur d'avertissement pour les sujets. Ils ont dès lors le devoir de ne pas accepter d'autorité sans en remettre en cause les principaux fondements. Du contrat social livre 3 résumé par chapitre des carnets cartographiques. ]
Du Contrat Social Livre 3 Résumé Par Chapitre Viii Protection Du
Or, s'il est aussi chargé d'appliquer la loi par des décrets, il va être confronté au particulier. Cela va le détourner de ce qu'il doit regarder. Cette corruption est catastrophique, car elle atteint « la substance » même de la république en altérant l'exercice de la souveraineté. D'où la nécessité de séparer les pouvoirs. Rousseau rejoint ici Montesquieu et sa théorie de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, car seul le pouvoir arrête le pouvoir. A moins qu'il n'y ait pas d'abus, mais dans ce cas, le gouvernement est superflu. Du contrat social livre 3 résumé par chapitre viii protection du. « Un peuple qui gouvernerait bien toujours bien n'aurait pas besoin d'être gouverné ». 2 ème temps: ensuite dans les 4 paragraphes suivants, Rousseau va expliquer les difficultés pratiques pour mettre en place une démocratie ( directe). Selon lui, « il n'a jamais existé de véritable démocratie, il n'en existera jamais ». – « il n'a jamais existé de véritable démocratie », cette phrase est étonnante quand on sait que Rousseau considérait la démocratie grecque antique comme un modèle du passé.
Dans le second paragraphe, Rousseau dit de la souveraineté (l'expression de la volonté générale) qu'elle ne peut être cédée. La volonté ne se transmet pas. Seul le pouvoir se transmet. Par conséquent le souverain (l'exercice du pouvoir par le peuple) ne saurait, sauf renoncer à lui-même, aliéner ou ‹‹ transmettre ›› son propre principe: la volonté générale. La volonté générale est la pensée du souverain. Elle est la " souveraineté en tant que pensée". Autrement dit, quand le souverain pense, il veut. Il pense l'universel, raison pourquoi sa volonté est générale ou bien n'est pas. Ainsi, son être étant manifesté dans et par sa volonté, il ne saurait transmettre celle-ci sans se détruire. Du contrat social livre 3 résumé par chapitre 7. Le peuple (le souverain en personne) ne transmet pas sa volonté, mais, en revanche, il peut transmettre le pouvoir d'exécuter ses volontés. La volonté générale qui, seule, dirige les forces de l'Etat, ne peut se transmettre. Que la souveraineté est indivisible L'exercice de la volonté générale peut-il être morcelé?