L Arbre Et La Pirogue

Cet article est issu d'un mythe Mélanésien (Archipel du Vanuatu) qui nous pousse à réfléchir sur notre condition en tant qu'humain et sur nos aspirations. L'histoire de l'arbre et la pirogue est riche de sens et a donné naissance à l'expression suivante. Penchons nous sur cette expression: Tout homme est tiraillé entre deux besoins. Le besoin de la Pirogue, c'est-à-dire du voyage, de l'arrachement à soi-même, et le besoin de l'Arbre, c'est-à-dire de l'enracinement, de l'identité. Les hommes errent constamment entre ces deux besoins en cédant tantôt à l'un, tantôt à l'autre jusqu'au jour où ils comprennent que c'est avec l'Arbre qu'on fabrique la Pirogue.

L Arbre Et La Pirogue

Le projet associatif de L'Arbre et la Pirogue c'est un collectif en action, pour une vie de partage et de coopération en harmonie avec la Nature L'objectif est de créer un lieu de vie et de travail, basé sur deux espaces en interaction dans le sud-ouest de la France. Le projet associatif, porté par le collectif de l'Arbre et la Pirogue, c'est à la fois un espace de vie partagée (type habitat partagé / Oasis de vie) et un espace d'activité (type Tiers Lieu / Oasis Ressources).

L Arbre Et La Pirogues

(Edouard Guevart, médecin de santé publique) « J'ai beaucoup aimé l'évocation de ta coopération et de ton retour au Maroc avec vos enfants. J'ai bien ri, aussi, au récit de ta visite avec Ogo aux indigènes de Prapic… ». (Philippe Roguet, biologiste) « Récit précis et vivant sur les réalités du terrain, récit chronologique allant d'un pays à l'autre. Découverte de la longue période antérieure qui m'est familière, aujourd'hui révolue. Que de contacts humains émouvants et forts ». (Roland Caplain, généraliste) « Ton livre est une vraie saga, une mine d'or de renseignements recueillis au cours des années de bourlingage africain… Bravo! ». (Jean-Claude Madelin, pédiatre) « Quelle bonne idée d'avoir écrit ce livre, un plaisir à lire! ». (Monique Michaud, infirmière) « J'ai beaucoup apprécié ce vaste parcours dans l'univers de l'interculturalité et du développement. La trame chronologique qui structure ce récit rend compte de la complexité du travail de terrain et de l'éventail des imprévus et des contrariétés avec lesquels il importe de composer, chemin faisant.

L'arbre Et La Pirogue En Anglais

Nous n'aurons jamais pris racines, nous ne laisserons pas de traces. Nous n'aurons pas pris le temps de voir venir les saisons, rien ne sera nait de nous. Quel regard porterons nous sur notre histoire quand nous serons vieux d'une vie que nous avons voulu intense et insctinctive. Tellement instinctive, que nous aurons juste suivi nos pulsions, nos coeurs et qu'elle nous aura méné vers une forme d'individualimse farouche. On ne parle jamais de la culpabilité du voyageur. La culpabilité de ne pas se sentir à la hauteur de ce que demande la société. Passer à coté de moments de vies. Passer à coté de la vie des autres. On voit naître en soit un conflit interne; suivre les valeurs inculquées ou les désirs instinctifs. Et si voyager était une vocation? Certaines professions sont des vocations. Certains se sentent appelés par un métier. Ils savent instinctivement qu'ils sont faits pour exercer une activité. Ils se sentent utiles, nécessaires. Ils ont trouvé leurs places. Et si l'on pouvait etre né juste pour voyager?

L'arbre Et La Pirogue Loubieng

A cette trame évènementielle s'agence tout un ensemble de réflexions plus générales relatives à l'action humanitaire, aux relations entre acteurs du Sud et du Nord, à l'organisation de l'offre de santé et à la pratique du « soigner autrui », aux manières de vivre et de communiquer des villageois et des urbains, etc. J'ai particulièrement apprécié l'approche sans complaisance des multiples difficultés auxquelles doivent faire face les généralistes africains, malgaches ou autres, qui s'installent en milieu rural. J'ai également apprécié les considérations d'ordre politique développées tout au long du livre. Sont largement évoqués aussi les conflits divers – les guerres civiles notamment – aux effets dramatiques pour les populations, le développement, l'offre de soins. On te suit de façon très vivante dans de nombreuses situations ». (Françoise Bouchayer, sociologue)

Il faut en avoir conscience. Nous sommes nombreux à avoir ces choix. Ce luxe incroyable de pouvoir decider de sa vie. Nous avons le privilège de l'ambivalence. C'est quand la vie devient trop pesante, trop lourde que l'on désir s'échapper à la recherche de légèreté, d'une joie simple de vivre. Tuer ce que la société et la civilisation ont falsifié en nous pour revenir à quelque chose de plus authentique. Ce n'est pas simple tous les jours de gérer ses contradictions. Ces conflits entre la nouveauté et l'habitude, l'aventure et la stabilité nous animent tous. Si l'on est attentif l'une prend souvent le dessus, et elle, la pirogue, devient une évidence.

Alors que certains achètent chaque année le dernier modèle de téléphone, d'autres collectionnent les robots ménagers et d'autres encore préfèreront les bijoux, la moto ou les jeux vidéos. Nous, nous aimons les voyages. Ce tour du Monde en famille n'est pas notre coup d'essai. Depuis la naissance des enfants, nous avons déjà sillonné la France, de la Bretagne au Jura, du Territoire de Belfort au Pays Basque et de Roubaix à Leucate. C'est l'avantage d'habiter en Auvergne, tout est plus proche quand on part du centre de la France. Nous nous sommes essayés au Road trip également en partant 25 jours en Scandinavie. Un voyage intérieur avant tout, tous ceux qui ont déjà fait plus de 80 km en voiture avec des enfants comprendront. 6000 km tous ensemble et en voiture donc 🙂 pour aller nager dans la Baltique, manger des sandwichs au hareng et découvrir les jardins de Tivoli. Nous aimons les voyages A chaque voyage des découvertes et des rencontres. Des modes de vie différents, des plats différents, des rythmes différents.

July 31, 2024, 8:47 pm
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