Rival Sons En Concert : Place De Concert, Billet, Ticket, Streaming Et Liste Des Concerts

Infos pratiques: Rival Sons en concert à L'Elysée Montmartre Le lundi 6 février 2017 Horaire: 20h L'Elysée Montmartre Tarif: à venir Réservations! Mise en vente le jeudi 10 novembre 2016 à 10h

Rival Sons 6 Février 2004

Hot Récap' Pépites Critiques Dig It! Bac à sable Tops Playlist Ciné-rock Rencontres Live reports Interviews A propos Contact Accueil [Critique] Rival Sons – Feral Roots février 4, 2019 0 commentaire Pour être tout à fait honnête, j'ai longtemps hésité à écrire cette "critique". Aussi bons soient-ils, les albums de Rival Sons se suivent et se ressemblent copieusement. Depuis 2009, … Continuer la lecture

Rival Sons 6 Février 1991

Pour être tout à fait honnête, j'ai longtemps hésité à écrire cette « critique ». Aussi bons soient-ils, les albums de Rival Sons se suivent et se ressemblent copieusement. Depuis 2009, les Californiens jonglent entre revival assumé et volonté d'affranchissement de leurs racines. Passer cet écueil, eh bien… Pas grand chose à se mettre sous la dent. Et puis je me suis dis, quand même, difficile de faire du classic rock en 2019 sans tomber dans les travers du cover ou du tribute band. Objectivement, Rival Sons a cette capacité à dépoussiérer le rock à papa sans trahir son âme et en infusant un peu de personnalité. Est-ce suffisant pour faire un bon album? Pas sûr. Leur dernier album, Feral Roots, suit la droite lignée du « bluesrockzeppelintropcool ». On retrouve ainsi les influences du Dirigeable et consorts des seventies (Deep Purple, Humble Pie, Leaf Hound, …), agrémentées de touches soul et blues. La voix de Jay Buchanan n'a pas pris une ride, la moustache de Scott Holiday est toujours aussi impeccable.

Rival Sons 6 Février 2011

Et quand la routine s'installe, l'ennuie n'est pas loin… Comme souvent avec Rival Sons, on part au quart de tour ( Do You Worst, Sugar On The Bone) avant de sévèrement patiner en milieu de course. L'épique End Of Forever, l'avant dernier morceau de l'album, nous fait à peine (re)décoller. Dommage pour les chants gospel de Shooting Star qui viennent, un peu tard, conclurent un album globalement trop monolithique dans sa forme. Il faudra encore attendre un peu pour assister à un vrai retour à l'état sauvage (« feral root ») du groupe. Feral Roots des Rival Sons est sorti le 25 janvier 2019. Continuer la lecture

Rival Sons 6 Février 2006

Depuis le début de la décennie, il ne s'est pratiquement jamais passé une année sans que les Rival Sons ne fassent escale à Paris. Les voici de retour en ce samedi soir au Bataclan, une salle inédite pour eux dans la capitale, ce qui ne les empêche pas de la blinder. Les Sheepdogs pratiquent, outre un classic rock de bon aloi, une certaine diversité vestimentaire. /Dom Gilbert Dom Gilbert Une foule qui profite aussi à la première partie, les excellents Sheepdogs, des Canadiens venus de Saskatoon. Malgré déjà 6 albums dans leur besace, les Chiens de berger restent largement méconnus en France, mais s'ils ont donné chaque soir lors de cette tournée un concert de même intensité que celui auquel nous avons eu la chance d'assister, ça va changer! Le groupe dispose d'un très bon chanteur, Ewan Currie, d'un guitariste soliste expérimenté en la personne de Jimmy Bowskill, d'un bassiste exubérant, Ryan Gullen, et d'un multi-instrumentiste assez doué, Shamus Currie (frère d'Ewan), capable de jouer des claviers d'une main et de remuer un tambourin de l'autre, puis de passer à la guitare ou au trombone!

C'est sûrement pour mieux voir les spectateurs qui chantent avec le groupe, crient et dansent, de bout en bout du concert. Les Américains, qui vont jouer ce soir tout leur dernier opus à l'exception d'un titre, débutent avec deux extraits, «Back in the woods» et «Sugar on the bone». Buchanan fait preuve d'une puissance vocale assez incroyable, tout en ne se ménageant pas sur la scène, enchaînant les allers-retours d'un côté à l'autre, comme un tigre en cage. A l'applaudimètre, ce sont quand même les vieilleries comme «Pressure and time» ou «Electric man» qui décrochent le pompon. Mais le groupe sait aussi varier les ambiances, comme sur la ballade «Jordan», ou les premières moitiés de «Feral roots» ou «All directions». Le bon vieux «Open my eyes» réalise un vrai carton, tout comme le riff de « Do your worst », délivré par un Scott Holiday en transes. Pour le rappel, Buchanan exprime toute son émotion de se retrouver ce samedi soir à jouer au Bataclan, et il demande aux spectateurs, alors qu'il se présente guitare acoustique en main, d'assurer les chœurs sur le très beau « Shooting stars », morceau plein de soul qui, on l'espère, deviendra un classique (vous l'aurez compris, c'est notre préféré sur le dernier album).

August 1, 2024, 1:50 am
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